Les zones de la forêt Atlantique brésilienne confiées aux peuples autochtones souffrent moins de déforestation que celles où ils ne bénéficient pas de droits fonciers équivalent, ont mesuré des chercheurs dans une étude publiée cette semaine.
Ces conclusions, publiées dans le journal scientifique PNAS Nexus, sont les premières à quantifier les bénéfices de tels droits fonciers accordés aux indigènes pour les forêts tropicales du pays. Mais, elles s'ajoutent à d'autres études tendant à souligner plus généralement les avantages environnementaux d'une gestion confiée à ces peuples.